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| « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 21:57 | |
| En dix-huit pauvres années d'existence, il m'arrive souvent de me demander d'où je viens exactement. New Castle ? Londres ? Je n'en sais rien. J'ignore même si j'ai des frères et sœur. Enfin j'ai une sœur adoptive, Amélia, mais je ne sais pas si j'ai des frères et sœur de sang.Je m'appelle Nunnally Vanessa Ramirez. Oui, je suis blonde comme les blés et je porte bien le type anglais. Comme je le dis un peu plus haut, j'ai été adoptée par des gens formidables, d'origines hispaniques. Si Manuel, mon père adoptif aurait voulu deux garçons, il nous a, Amélia et moi : je l'aide au garage, elle veut devenir footballeuse de haut niveau. Je suis célibataire et aux dernières nouvelles, hétérosexuelle. Je suis allergique aux pistaches. | | Pseudo ; lu' Age ; 17 y/o Avatar ; Dianna Agron. Niveau ; 12/20 Présence ; 5/7 Ton avis ? je me suis inscrite. what else ?
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YOUR WORDS « Nous allons être ton papa et ta maman à présent. »
J'avais cinq ans. Cela faisait à peu près le même laps de temps que je pourrissait dans cet orphelinat. Bon d'accord. J'avais un toit, j'avais des amis, je mangeais à ma faim. Mais je crois que croiser la route de ces gens pouvait être une des plus belle chose qui pouvait m'arriver. Ma mère, je ne me souviens plus d'elle, on m'a juste dit que son prénom était Margaret, et que j'avais la pureté de ses traits. Avec ça, j'étais bien avancée. Mais revenons à Léonora, Manuel et Amélia - pardon, Amy - qui allaient devenir ma nouvelle famille. Les Ramirez - c'est ainsi qu'on me les présenta - affichaient un air bien veillant. J'avais appris que Léonora avait toujours souhaité un autre enfant, mais que malheureusement, elle ne pouvait plus en avoir. Quant à Manuel, il me confia plus tard qu'il aurait bien voulu un garçon, mais que finalement, j'étais mieux qu'un garçon. Bref, l'assistante sociale avait déclaré qu'ils feraient des parents parfaits pour moi... Et il fallait bien admettre que les adultes de l'orphelinat, ça les ferait souffler que je parte. J'étais comme qui dirait une forte tête. Je n'avais que cinq ans, mais j'étais un peu la meneuse de bande, le petit garçon manqué qui n'hésitait pas à recourir à la force pour obtenir ce qu'elle voulait. Mais dès que je suis arrivée chez les Ramirez, je me suis retrouvée vraiment encadrée, et mon comportement a changé. J'ai même prit un semblant d'accent, et j'ai rapidement appris les bases de l'espagnol - ce fut d'ailleurs bien pratique pour le lycée. Je me suis même découvert un intérêt, et surtout un talent surprenant pour la mécanique, c'est dire !
HISTOIRE « Vous voulez vraiment connaître mon histoire ? Vous allez être déçus. Le début n'en n'est vraiment pas glorieux. Je ne me rappelle pas de ma mère, et encore moins de mon père. D'ailleurs, je me demande parfois si ma mère elle-même savait qui il était. Bref. Margaret, du moins, c'est comme ça qu'on m'a dit qu'elle s'appelait, m'a déposée à l'orphelinat quelques jours après ma naissance - le 14 avril apparemment. Certes, elle m'a placée à New Castle, mais j'ignore si c'est dans cette ville que j'ai vu le jour. Vous comprenez pourquoi mon histoire est aussi prise de tête ? Je ne sais pas d'où je viens. Enfin si, je sais grâce à qui j'en suis là, à vous raconter ma vie. Mais j'y viendrait plus tard.
J'étais donc à l'orphelinat. Dans ce genre d’infrastructure, vous ne devez surtout pas vous attacher aux adultes, et ça, vous le comprenez très vite. Alors vous essayez de vous imposer. parce qu'il ne faut pas rêver : c'est la loi du plus fort. Moi, j'étais forte, j'ai pu m'en sortir. Dès l'âge de trois ans, j'étais déjà haut placée dans la pyramide. Bon d'accord, c'était une petite pyramide. L'orphelinat n'accueillait qu'une vingtaine d'enfants, les plus jeunes étant des nourrissons, et les plus âgés ayant huit ou dix ans maximum. En fait, je disais qu'il ne valait mieux pas s'attacher aux adultes, mais c'était aussi valable pour les autres enfants : vous vous faisiez un ami, et quelques jours plus tard, il se faisait adopter, et bien sûr, il oubliait complètement ses anciens potes. Enfin moi, je peux dire que j'ai eu de la chance.
J'étais un petit caïd en puissance, et les parents potentiels ne se bousculaient pas au portillon. Cependant, un jour de mai, un jour dont je me rappellerai sans doute toute ma vie, un couple accompagné d'une petite fille de mon âge est arrivé vers moi, et la femme m'a dit d'un ton serein que maintenant, ils seraient mon papa et ma maman. Sur le moment, je n'ai pas tellement tilté. Ben oui, quand vous n'en avez pas, on va dire que vous ne vous attendez pas forcément à ce qu'une famille déboule et te tende les bras. En fait, ma réaction m'a étonnée moi-même, je dois bien l'admettre. En bonne petite chef de bande bien fière, on aurait pu s'attendre à ce que je tourne le dos, ou du moins à ce que je me conduise de manière plus pondérée. Et bien non. J'ai pris la main tendue de cette femme et je me suis mise à pleurer de joie. Tout ça pour dire à quel point, en réalité, je me sentait paumée. Bon, et accessoirement, j'étais une gamine de cinq ans malgré un certain cynisme déjà présent. C'était le 12 mai.
Je faisais donc officiellement partie d'une famille. A l'orphelinat, j'étais juste Nunnally. Lily pour les intimes. Et là, d'un coups, je devenais Nunnally Vanessa Ramirez, fille de Manuel Ramirez, garagiste, et de Léonora Rocio-Ramirez, médecin. J'avais aussi une sœur, Amélia Ramirez, dite Amy. D'ailleurs, je me suis immédiatement bien entendue avec elle. On avait sensiblement la même personnalité en fait : elle aussi était un peu garçon manqué, préférant quasiment les petites voitures aux poupées.
C'est donc grâce à ces gens que j'en suis là aujourd'hui. Je me suis beaucoup calmée, apaisée à leur contact. D'ailleurs, au contact de mon père adoptif, je me suis découvert un certain talent pour la mécanique, et dès l'âge de dix ans, je l'aidais au garage après l'école. Amy, elle, préférait le sport. J'avais aussi un assez bon contact avec ma mère adoptive, même si j'avais parfois du mal avec sa manie de la sécurité. Tu vois, on ne se ressemblait absolument pas physiquement, moi blonde, eux, tous bruns à la peau bronzée... Et pourtant, je me sentais plus chez moi qu'avec n'importe quelle autre famille bien blanche et bien blonde. Je n'étais pas le fruit de leur amour, mais pourtant, c'était tout comme.
Mais bien sûr, la conséquence de mon adoption ne fut pas qu'une famille. C'est aussi grâce à ce tournant dans ma vie que je t'ai rencontré mon petit Vinny ! »
Nunnally fit un clin d’œil au dit Vinny, de son vrai prénom Vincenzo, le fils des voisins italiens, débarqués seulement dix ans auparavant.
« Je me souviendrais toujours de ta face de chat échaudé lorsque tu es descendu de la voiture de tes parents, il y a dix ans. Le climat britannique devait bien te changer ! C'était plutôt amusant de te voir frissonner d'ailleurs... Enfin bref. Nous nous sommes tout de suite entendu. On avait le même sens de l'humour, le sarcasme. Et puis ton flegme naturel, s'il pouvait être agaçant était aussi plutôt reposant. Cela changeait des blagues stupides et immatures que tu pouvais faire ! Oh, et puis c'était plutôt cocasse de voir un gars comme toi faire des compositions florales dans la boutique de papa-maman ! Enfin au moins aussi cocasse que moi, réparant un camion... »
Elle marqua une pause, et sourit, portant son regard sur l'autre garçon présent.
« Et c'est au collège qu'on a rencontré Charlie. Avec deux ans de plus que nous, tu avais également ces deux années scolaires de retard. Pas parce que tu étais sot, - et encore, cela aurait été presque mieux -, mais parce que ta scolarité avait bien été bouleversée à cause de plusieurs hospitalisations dues à ta santé. C'est aussi grâce à toi que j'en suis là aujourd'hui. Du courage, j'en avais déjà, mais qu'est-ce que tu as pu me renforcer. Toujours prêt à protéger les autres, alors que c'était à nous de te protéger. Mais ce que tu m'as appris surtout, c'est le "Carpe Diem". La règle, entre nous, c'était de ne jamais parler de l'avenir. D'ailleurs, ça m'arrangeais bien personnellement. Depuis mon enfance, c'était difficile de me projeter. Certes, je me sentais aimée et acceptée dans ma famille d'adoption. mais si un jour on m'abandonnait... ? »
Nunnally s'arrêta là. Parce qu'après tout, son histoire, par la suite, c'était celle de n'importe qu'elle adolescente. Elle est allé au lycée. c'était une élève comme une autre, ni meilleure, ni moins bonne. Avec ses deux meilleurs amis, Charlie et Vincenzo, elle faisait les quatre cents coups, Amy se joignant parfois à eux. Et puis vint la fin du lycée. Nunnally avait d'assez bonnes notes pour envisager l'Université, mais elle n'en avait aucune envie. Et ses parents ne la forçaient à rien : pour l'instant, elle restait donc à la maison, aidant dans le garage. Après tout, pourquoi ne pas envisager d'en faire son métier ? Quoique la photo l'intéressait pas mal aussi...
Ma fiche est ; (posez le ✓ où c'est le bon choix) ❑ en construction ❑ bientôt fini ✓ terminée
Dernière édition par Nunnally V. Ramirez le Lun 31 Oct - 23:23, édité 1 fois |
| | | Kelsay T. Eastwood
▶ MOTS : 607 ▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011
| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 22:07 | |
| Bienvenuuuue *-* Avec la sublime Diana ! J'peux savoir comment t'a connu le fo ? (a) |
| | | Luke C. Carter
▶ MOTS : 229 ▶ ICI DEPUIS : 31/10/2011
| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 22:47 | |
| Bienvenue! =) (Tiens... J'avais eu, moi aussi, l'idée de faire un personnage qui aurait été adopté mais j'ai abandonné l'idée ^^) |
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| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 23:21 | |
| Bienvenido = ) Diana Agron *on va reformer le Glee Club (aa)* |
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| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 23:26 | |
| Merci =D
Kelsay » Par un partenariat, je suis sur un forum HP (Two heroes, one war) et j'ai flashé sur le contexte =)
Faith » Oui, d'autant plus que l'un de mes scénarii (Amélia pour ceux qu'aurait lu ma fiche ^^') va être Naya Rivera x)
Je pense avoir terminé ! ^^ |
| | | R. Hazel Callahan I LOVE toyboy ♥ Yes, I CAN.
▶ MOTS : 412 ▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011 ▶ WHERE ARE YOU ? : Au milieu de millions d'étoiles.
| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 23:37 | |
| Oh Agron ! -> Trois membres d'un coup, ça fait plaisir ! Bienvenue parmis nous. |
| | | L. Jamie Lowell
▶ MOTS : 220 ▶ ICI DEPUIS : 10/09/2011 ▶ AGE : 30 ▶ WHERE ARE YOU ? : In your underwears.
| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 23:49 | |
| BIENVENUUUUUE ! Puisque ta fiche est terminée, je te valide ! Amuse-toi bien parmis nous, et si tu as des questions on est là |
| | | Kelsay T. Eastwood
▶ MOTS : 607 ▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011
| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 23:53 | |
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| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » Lun 31 Oct - 23:55 | |
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| Sujet: Re: « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » | |
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| | | | « moi à l'orphelinat, je les rackettais les crétinos comme lui... » | |
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