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 Chris A. Brooks # You do this all in vain .

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Chris A. Brooks

Chris A. Brooks




▶ MOTS : 71
▶ ICI DEPUIS : 21/12/2011

Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Empty
MessageSujet: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeMer 21 Déc - 19:46




Christopher Alistair Brooks. De l'américain, de l'écossais, cela résume les deux familles que j'aurais eu. J'ai 22ans. Je suis né quelque part, en Angleterre, aux alentours de Liverpool, dans une banlieue bien fréquentée plutôt bien fréquentée. Je suis fils unique, biologiquement parlant, une petite soeur dans ma famille adoptive. 6 ans nous séparent. Même si elle se qualifie de grande, j'ai toujours été le genre de mec à la suivre à la trace, et à prendre entre 4 yeux la moindre personne qui lui voudrait du mal. Un jour, elle a disparu. Même si je le cache, elle me manque. Je vis seul, dans un appart' au rez-de-chaussé, avec un jardin. J'ai pris une chienne, officiellement de garde, officieusement de compagnie. Un chien loup, nommée Lilwen. De nous deux, on se demande qui dresse l'autre je dois dire. Concernant mes relations...Les gens me qualifient d'intelligent et de mature. Ca me fait rire. Beaucoup de choses me font rire. Je ne suis pas du genre très compréhensifs avec les supérieurs, que je qualifie de vieux. On ne dirait pas, mais je suis assez irrespectueux. Arrogant, cynique, je le suis aussi. J'ai du mal à me trouver des qualités. Le rapport humain, même si mon boulot m'y oblige, ce n'est pas tellement dans mes cordes. A ce propos, je suis policier depuis peu. Non pas pour l'amour du devoir, mais dans le but de découvrir la réalité sur mon histoire. Concernant mon orientation sexuelle, je suis hétéro à 100%, bien qu'incapable de gérer une relation. Il m'arrive de fumer et de boire, mais je n'en suis absolument pas dépendant.

Chris A. Brooks # You do this all in vain .  10qhtf9




Pseudo ; Nim
Age ; 14ans
Avatar ; Kevin Flamme
Niveau ; ...?/20
Présence ; 7/7
Ton avis ? J'adore ce forum. Mais vraiment *ç*



YOUR WORDS


"Qu'est-ce que tu fais là petit ?
-J'attends ma maman et mon papa."
Je devais avoir 6ans, peut-être moins. Un mardi soir, d'un début de décembre. J'étais sorti de l'école, comme d'habitude. J'avais attendu. Je ne sais pas combien de temps, mais j'avais fini par m'asseoir sur ce banc et par attendre mes parents. Le monsieur qui m'avait posé la question, me faisait jadis penser au père-noël. Il devait avoir la cinquantaine, bedonnant, avec une barbe blanche. Il s'était assis à côté de moi. Je frissonnais, il m'avait posé sa veste sur les épaules. On avait un peu discuté, il avait attendu avec moi. Il faisait nuit, le mercure ne devait pas voler plus haut de 5°. A l'époque, j'écoutais mes parents. Mon père m'avait toujours dit que si un jour, il était en retard pour venir me chercher, je devrais l'attendre gentiment, ne monter dans la voiture à personne que je ne connais pas, et ne parler à personne. Ce n'était pas rare qu'il soit en retard, mon père. Son boulot qui lui faisait faire des heures sup', disait-il. De mes 6 petites années, je ne comprenais pas encore ce jargon.

"Voilà ton nouveau foyer."
Effaré, je regardais la jeune femme, alias Miss Wood, la psychologue scolaire. Ca non plus, je ne le comprenais pas. Mes parents n'étaient jamais revenus. Mais je les cherchais encore et toujours. Jusqu'à ce jour, où après un long moment de route, la jeune femme m'avait emmenée devant ce bâtiment de briques rouges, protégé par une enceinte aux grilles noires. Je ne voulais pas y aller. Je voulais rentrer chez moi. J'avais hurlé, frappé, tempêté, sans avoir le dessus. Elle m'avait fait entrer. Ma colère s'était dissipée quelques instants, quand à l'intérieur, un groupe d'enfants est passé en riant. Etait-ce un espèce de centre aéré ? Je voulus aller le demander aux jeunes. La psy ne l'entendait pas de cette oreille, elle me poussa dans une salle, ou plutôt un bureau. Celui de la directrice, qui m'expliqua. En attendant de me retrouver de nouveaux parents, j'étais enfermé dans un immeuble, avec d'autres enfants. Voilà comment, du haut de mes 7 ans, j'avais interprété la chose. Une prison.

"Chris, voici ta nouvelle famille."
12 ans. 5 années durant lesquelles j'étais resté confiné dans l'orphelinat. J'ai des amis, dont un, Elliot, qui est mon meilleur ami. Au final des mois, j'ai compris que je n'étais sûrement pas le plus malheureux de tous. Mais non, il fallait que ça tombe. De nouveaux parents. J'ai observé le couple. Des écossais, venus de je ne sais où. Je les avais déjà vu quelques jours plus tôt, se baladant parmi les enfants. Les adultes cherchant des gosses, se baladent souvent parmi nous. J'avais toujours été désespérés par les mimiques et le lèche-cul que tous les autres mettaient, pour se faire remarquer, et se faire adopter. Chaque fois, je m'enfuyais, je me cachais, je me montrais désagréable. L'orphelinat était un cocon, les adultes, de la vermine. Comment aurais-je pu rester toute une vie la-bas de toute façon. Tout était prêt depuis plusieurs jours. Miss Wood a descendu mes affaires. Je me sentais trahi. Je quittais le lieu qui m'avait fait revivre, pour une vie avec des inconnus.

"Christopher. Seule la police sait pour tes parents."

Juste avant de partir chez ma nouvelle famille, les Brooks, je suis rentré une dernière fois dans le bureau de la directrice. Je voulais connaître la vérité sur mes vrais parents. J'étais stupide de croire qu'on me dirait quoi que ce soit, sur un période du passé qui ne demeurerait désormais qu'un souvenir ancien. Ce fut la première décision de ma vie. Seule la police le sait ? Très bien. Je serais de la police. J'étais sorti en claquant la porte.

"Fillys a disparu."
J'avais 20ans, elle en avait 14. C'était ma petite soeur adoptive. Malgré la différence d'âge, on aura toujours été complice. On exaspérait le monde avec nos âneries. Jusqu'à ce soir là. Je venais de rentrer d'une énième journée "d'entraînement", j'étais lessivé. Ma famille adoptive me l'a annoncé comme ça, de plein fouet. J'avais serré les points, prêt à remuer terre et mer pour la retrouver. Je m'étais adossé au mur. Je n'acceptais pas que quelqu'un disparaisse encore de ma vie. Ca ne serait pas aussi simple cette fois-ci.

"Jeune homme, bienvenue parmi nous!"
J'avais 21 ans. Le brigadier en chef du commissariat me donna un grand coup sur l'épaule. Après trois ans de labeur, de recherches, de tentatives vaines de retrouver des êtres chers, j'étais reçu. Personne, peut-être à part ma famille, ne connaissait mes véritables ambitions. Toutes les conneries que j'entendais dans le boulot..."Ce métier, c'est une vocation". Tu parles. Juste un moyen de connaître la vérité sur des affaires où personne n'avait été fichu de résoudre quoi que ce soit. Derrière ça, encore les emmerdes et les tâches ingrates d'un policier. Je souriais, mimant une joie professionnelle. Juste en mimant. Parce que le sentiment qui m'habitait, ce n'était pas de la joie, mais de la détermination.

HISTOIRE


Je suis né à Liverpool, un certain 5 janvier 1989, sous le nom de Christopher Evans. Une banlieue pas si mal fréquentée si je me souviens bien. Un père avocat, une mère comptable. Oui, sur ce point je n'avais pas de quoi me plaindre. J'étais le fils unique, chéri de ses parents. De la famille, je n'en avais pas d'autre. Du côté de ma mère, c'était décimé aux quatre coins du globe, et du côté de mon père, il ne restait qu'une vieille tante folle à lier. Quoi d'autre à signaler...Ah. J'avais un poisson rouge. Nommé Némo. Il est mort par un suicide en dehors du bocal. J'étais un gosse heureux quoi. Gâté, aimé par ses parents, avec plein d'amis. Jusqu'à ce jour, où personne n'est venu me chercher à la sortie de l'école. Le vieux monsieur avait attendu avec moi. Je ne sais pas combien de temps après, il a téléphoné à la police. Je me souviens du caprice que j'avais fait. J'obéissais, à l'époque. Je ne voulais pas bouger du banc. Mais ils m'ont emmené au commissariat. Assis sur une chaise, dans une salle lugubre, avec un chocolat chaud entre les mains. Cette image est restée gravée. Les gens passaient, me regardaient avec pitié. La vérité, je ne l'ai sue qu'après.L Ils n'arrivaient pas à joindre mes parents, ne savaient pas à qui me confier en attendant. Ils cherchaient, me plaignaient. Un des policiers a fini par m'emmener en voiture. Nous sommes rentré chez moi, et il est resté. Sitôt rentré, je me souviens avoir parcouru toute la maison en hurlant "Papa ! Maman ! Où est-ce que vous êtes ?". Le lendemain, je suis allé à l'école, comme d'habitude. Et le soir...Toujours pas de parents. Les recherches n'aboutissaient pas. Plusieurs jours ont passé, pendant lesquels j'allais à l'école, sans voir mes parents. Je ne comprenais pas. J'étais juste enfant. Vint le samedi, où la décision fut prise. On allait me confier à un établissement apte à s'occuper de moi. Miss Wood, la psychologue scolaire qui me suivait à mon insu depuis plusieurs jours, s'occupa de me mener à destination. Elle vint chez moi, m'aida à prendre mes affaires, me fit monter dans la voiture. Je ne savais pas que je quittais Liverpool, et ce définitivement.

Quelques heures de route plus tard, j'étais à Newcastle, devant un orphelinat en briques rouges, protégé par une grande grille noire. Nous entrâmes. Je geignais, pleurnichait. Je voulais revoir mes parents, je le criais à qui voulait l'entendre. Tout le monde restait sourd à mes protestations. Comment expliquer à un gosse de tout juste 7 ans qu'il ne reverrait sûrement jamais ses parents ? C'est ce jour là que j'ai perdu toute confiance envers les adultes. Tout le monde me répétait que je serais bien ici, je ne les croyais pas. Ils mentaient. Je me sentais en prison, j'avais l'impression d'être la victime, sur le point de croiser son bourreau. Les enfants semblaient heureux pourtant. Moi, j'avais du plomb dans le coeur. Peut-être ne serais-je plus jamais heureux ? Pas de réponses. On m'avait placé dans une chambre, que je partageais avec un autre garçon. Elliot, mon premier ami de l'orphelinat. Très vite, ce fut aussi mon complice pour toutes les bêtises imaginables. Les punaises ou la colle sur les chaises, les bestioles en plastique, ça devait être nos coups les plus courants mais les plus extra. On grandissait ensemble, prenant l'habitude de nous faire gronder par les adultes. A chaque fois, au lieu de nous sentir coupables et de nous excuser, nous pouffions de plus belle. Il aimait embêter les filles. Je ne sais pas pourquoi ça l'intéressait...Pour moi, c'était bien trop compliqué. Le problème de cette vie, c'est qu'à n'importe quel moment, on risquait d'être séparé. Certain enfants rêvaient d'être adopté. Moi, je fuyais. Pas question de partir. J'étais chez moi, point barre. Elliot se fit adopter par un couple de riches avant moi. La solitude n'eut pas tellement le temps de prendre le dessus, que je fus convoqué dans le bureau de la directrice. Encore une bêtise, supposais-je.

Mais non, bien pire qu'une bêtise. Une famille. Je les regardais avec hargne. Ils ne m'arracheraient pas à l'orphelinat juste par de belles paroles, c'était hors de question. Le couple Brooks, des écossais, avaient déjà une petite fille de 7 ans, ils ne pouvaient donc pas s'en contenter ? Je les avais vu traîner dans l'orphelinat, je n'avais pas voulu me faire remarquer. Des injures assez vulgaires me montèrent à l'esprit. De la retenue quand même. Du coin de l'oeil, je vis les tas de papiers roses sur le bureau de la vieille peau. Les papiers d'adoption. J'approchais mon nez, et cru m'étouffer. Désormais, je n'étais plus Christopher Evans, mais Christopher Alistair Brooks. On me retira les précieux documents, de peur de ce que je pourrais en faire. Encore une fois, je me sentais trahi. "Je refuse, j'irais pas avec eux, jamais !". Oh que oui, je l'avais fait comprendre. Mais les adultes gagnent toujours. Mes valises étaient déjà prêtes. Ils n'avaient plus qu'à m'emmener. 12ans physiquement, 5 ans mentalement. Je n'étais pas si mature que ça. Avant de partir, je posais la question fatidique à la directrice. Elle ne savait rien de mes parents. Seule la police le savait ? Très bien. Plus tard, je serais la police, et je finirai le travail inachevé.

Ainsi, je suis parti avec les Brooks. Comme feraient n'importe qui dans leur cas, ils m'ont parlé, se sont présenté, ont présenté leur environnement. Moi je me taisais. Muré dans mon silence, je me déconnectais de la réalité. La route n'était pas très longue, je restais dans Newcastle. La voiture s'arrêta, et je lançais un regard nerveux vers ma nouvelle demeure. Contrairement à ce que j'aurai pu croire, ce n'était pas une maison en briques, dignes du manoir de Dracula, mais un petit pavillon en bois. Tout de suite, cela semblait plus sympathique. La chose me dérida 30 secondes, avant que je replonge dans mes grommellements. Je n'arrivais pas à me résigner. Ma nouvelle famille se composait de trois membres. Le père, Callum, la mère, Innes, et la fille, Fillys. La fille en question venait de sortir de la maison pour courir vers ses parents. Elle me détailla avec intérêt. A ce que j'avais retenu de la conversation dans la voiture, elle haïssait la solitude. Pour elle, j'étais plus que le bienvenu. Force m'avait été d'admettre que face à mon caractère de chien, elle avait été adorable, et bien plus patiente que n'importe qui.

Les jours se déroulèrent ainsi. Je n'aimais pas du tout mes nouveaux parents, mais je tombais en adoration devant ma soeur. Si on me demandait, je précisais toujours que les Brooks, n'étaient que des parents adoptifs. En revanche, quand on me demandait si Fillys était ma soeur, j'opinais fièrement de la tête. Elle était ma fierté quoi. Envers les autres, c'était "tu la touches, j'te bouffe". Plus complice que nous, ça n'existait pas. Il n'empêche que je ne comprenais toujours rien aux filles. La différence d'âge n'existait plus. Pour nous, parce que les vieux ne voyaient pas toujours d'un très bon oeil notre rapprochement. Ils auraient pu s'estimer heureux, grâce à elle je faisais des efforts pour les supporter...Je ne les aimait pas pour autant, et d'ailleurs, je ne digérais pas le changement de nom. M'en fichais, j'étais un Evans, parents adoptifs, ou non. Les adultes, toujours sourds à mes protestations, ne voulaient rien entendre. Et Fillys, ça la faisait rire. "Que tu sois un Evans ou un Brooks, tout le monde s'en fiche. T'es Chris, et point barre, gros débile!". Elle me le répétait souvent, je lui répondais un "gnagnagna" moqueur, et on explosait de rire. Comme des gosses. Nous en étions, pour résumer. Jeunes, insouciants. Malheureusement, dépendants des adultes aussi. La joie, la tristesse, les conneries, c'était jamais l'un sans l'autre. La fin de mon enfance se déroula ainsi.

La vie suivait son cours, tranquille et sans accroches. Les cours, les sorties, les amis, les punitions des parents quand on dépassait les bornes. Malgré ça, je restais obsédé sur ma destinée de finir dans la police, pour traquer le moindre indice sur mes parents. Tout allait bien jusqu'à ce soir là. J'en étais à mes études, et je rentrais d'une journée particulièrement pénible. Vous devez savoir ce que c'est, l'envie de vous poser et de ne plus rien faire de la soirée. Mais non, sitôt franchi le seuil, mes parents adoptifs me sautèrent dessus, et m'annoncèrent la disparition de Fillys. Ils semblaient inquiets, mais ne faisaient rien. Comme s'ils attendaient mon avis pour faire quoi que ce soit. Entre la peur, la tristesse, l'inquiétude, une bouffée de colère. Je donnais un violent coup de poing dans le mur. Une grimace de douleur s'était lue sur mon visage. Je m'y adossais, me retenant clairement de péter un plomb. J'avais tenté par tous les moyens de joindre Fillys, de savoir où elle se trouvait, mais à chaque fois "je ne sais pas" ou "je crois que". Comme si ça m'avançait. J'étais sorti, j'avais sillonné les rues, interrogé sans doutes toute la ville, pour au final ne rien trouver. La même routine s'installa chaque jour : je cherchais, sans trouver. La routine d'une vie. Voilà à quoi ma vie peut se résumer. Maintenant, je suis entré dans la police. Je pense enfin pouvoir finir le boulot non terminé des autres.



Ma fiche est ;
en construction bientôt fini terminée






Dernière édition par Chris A. Brooks le Sam 7 Jan - 13:01, édité 16 fois
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Kelsay T. Eastwood

Kelsay T. Eastwood




▶ MOTS : 607
▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeMer 21 Déc - 19:53

ahah re-bienvenuuue *-*
j'te refais pas tout un bla bla (a) courage pour ta fiche ! I love you
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Elliot J. Cooper

Elliot J. Cooper




▶ MOTS : 24
▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011
▶ AGE : 27
▶ WHERE ARE YOU ? : Dans ma chambre.

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeMer 21 Déc - 20:01

Reuwh' Acy Very Happy
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Chris A. Brooks

Chris A. Brooks




▶ MOTS : 71
▶ ICI DEPUIS : 21/12/2011

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeMer 21 Déc - 20:25

Merci ^^'
Kelsay, je me passerais du bla bla, j'ai tout compris la première fois. What a Face *SBAFF*
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Emma R. Lennox

Emma R. Lennox




▶ MOTS : 72
▶ ICI DEPUIS : 22/11/2011

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeJeu 22 Déc - 18:39

Bienvenue again (a)
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Luke C. Carter

Luke C. Carter




▶ MOTS : 229
▶ ICI DEPUIS : 31/10/2011

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeJeu 22 Déc - 19:34

Re-bienvenue! =)
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Chris A. Brooks

Chris A. Brooks




▶ MOTS : 71
▶ ICI DEPUIS : 21/12/2011

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeSam 24 Déc - 19:57

Mercii.

Et j'ai *enfin* finiii o/
La fin de l'histoire est bâclée, mais flemme de faire plus :3
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Invité

Invité




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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeDim 25 Déc - 3:04

Rew Chris A. Brooks # You do this all in vain .  4269191387
Kevin Flamme ? Et de la police en plus ? On va bien s'entendre What a Face
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L. Jamie Lowell

L. Jamie Lowell




▶ MOTS : 220
▶ ICI DEPUIS : 10/09/2011
▶ AGE : 30
▶ WHERE ARE YOU ? : In your underwears.

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeDim 25 Déc - 18:18

Re-Bienvenue ! Et voilà pour toi ! Chris A. Brooks # You do this all in vain .  4269191387
J'aime ton histoire *.*




Bienvenue!


Tu es donc validé(e)! Chris A. Brooks # You do this all in vain .  2154015100
Soit le bienvenue et n'oublie surtout pas de ; (pour les liens, clique sur les ✚ (a))
Recenser ton avatar Chris A. Brooks # You do this all in vain .  3839493590
Signaler -ou pas- si tu souhaite connaitre notre maître du jeu (a)
Faire un tour au logement, voir comment ça se passe.
Te renseigner sur les boites personnelles et pourquoi pas, en créer une ?
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Enfin, la liste des métiers ! Chris A. Brooks # You do this all in vain .  727661855




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Chris A. Brooks

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▶ MOTS : 71
▶ ICI DEPUIS : 21/12/2011

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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitimeDim 25 Déc - 23:21

Merci *-*
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MessageSujet: Re: Chris A. Brooks # You do this all in vain .    Chris A. Brooks # You do this all in vain .  Icon_minitime

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Chris A. Brooks # You do this all in vain .

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