Nana Mizuki ♦ Blue Moon

Ma vie n'avait pas si mal commencé... J'avais un père, une mère, je vivais dans un appartement pas si mal … ça a commencé à partir en vrille au moment où mon père est partit …
J'avais alors cinq ans, ma mère attendais ma petite sœur, et mon père n'était pas de trop pour payer nos facture … Mais du jour au lendemain, il a disparut. On a attendu, longtemps, qu'il revienne, mais rien … même pas une lettre … Il nous a laissé seul, avec juste le salaire de ma mère, le loyer, et ma sœur à venir … pire, il a laissé derrière lui des dettes de jeu énormes … Sans ses propres revenu, nous sombrions. J'étais trop jeune pour comprendre alors, mais j'ai grandit, et j'ai vu mes amies commencé à faire de la dance, de la gym, ou encore de la natation, et j'ai compris que moi, jamais je n'en ferai …
Alors j'ai grandit seul, laissant mes amies dans leur monde sans problème d'argent, grandissant sans ma mère qui devait prendre deux travail pour tenir les deux bout. Alors je travailler bien à l'école, pour avoir un super travaille qui gagnerai bien, pour aider ma mère, et dès que je rentrai, je m'occuper de ma petite sœur, et je faisait les taches ménagères … puis la cuisine, et j'ai finis par m'occuper totalement de la maison.
Vers mes seize ans, ma mère est tombée malade. Ça, plus la fatigue et le stress de notre situation, ça c'est aggraver de jours en jours … mais elle a continuée à se lever le matin, à partir travailler, et à revenir tard le soir, pour ma sœur et moi. Pour un jour ne même plus se lever le matin.
A partir de là, j'ai totalement arrêté mes études, sans en dire un mot à ma sœur. Elle avait alors 11 ans, et je la trouvais trop jeune pour connaître ces détails de la vie. Je partais chaque matin comme pour allez au lycée, et je chercher toute la journée du travail. J'ai finis par en trouver, dans un café/bar, un travail de serveuse. Pas énormément payé, mais assez pour qu'on puisse manger, se vêtirent, et payer nos dettes.

Il c'est passé deux ans comme ça, je faisais semblant d'ailler au lycée, mais j'allais en réalité bosser, j'ai même finis pas obtenir un post de chanteuse provisoire, pour les samedi soir, pour faire l'ambiance. Pas grand-chose, mais ça ma permis de vivre un peu mieux. Quant à ma sœur, elle suivait une scolarité normale, mais faisait des petits boulots en douce, pour m'aider.

Mais ma sœur aussi est tombée malade, et pour couronnée le tout, les services socio on voulut la placé en famille d'accueil. Jai dut, en plus de travailler, me battre pour la garder. Avocat, temps, tout ça m'a couté, énormément même. Je me suis trouvée à ne pas pouvoir réglé le loyer. On était très mal. Alors je n'ai pas eu d'autre solution. En plus de mon boulot de serveuse, je me suis investit dans des choses un peu louches drogues pour commencer, espionnage, voir même enlèvement, ou meurtres, (rarement, j'ai du le faire … deux fois ?) Pour finir. Mon groupe m'a appris à me défendre, me servir d'un couteau … il m'a changé.

Je suis devenu plus dure, tout en restant la même avec ma petite sœur … J'ai appris à manipuler les gens, en utilisant le fait d'être une femme, ça m'a détruite, littéralement …
C'est à peu près a cette époque que je me suis fait tatouer je crois … encore un problème dut à eux …

Et puis, j'ai passé encore deux ans comme ça, jusqu'à que ma petite sœur s'en rende compte … et elle m'a demandé d'arrêter… J'ai accepté, sans vraiment y croire, j'ai pensé le faire mais … toujours remettre à plus tard les choses … J'étais devenu plus forte, certes, mais de la à me mettre un dos un puissant groupe de la drogue …

Et puis, elle c'est rendu compte que je n'arrêtais pas, alors, un an après, pour son anniversaire, elle ma demander de lui promettre. Lui faire la promesse d'arrêter le lendemain. Une promesse, je devais la tenir, alors je l'ai tenu. Le soir même, j'y suis retournée, ils m'ont proposé un job, je l'ai refusée. Ils m'ont regardée bizarrement, j'ai tenu. Ils m'ont menacée, j'ai tenu. Ils ont menacée ma sœur, j'ai tenu … extérieurement. Une chose encore qu'ils m'avaient appris. J'ai réussi à repartir presque idem, lentement, mais une fois dans l'immeuble, j'ai courus. Elle était là, passant l'aspirateur, sans danger. J'ai fermé la porte à clef, et je lui ai dis de faire ses valises.

Et puis ils ont essayés d'ouvrir la porte. Mais le verrou était résistant, et j'ai eu le temps de vérifier les sortis : la seul possible était la fenêtre, deuxième étage, mais un balcon en dessous c'était faisable … Malheureusement, ils étaient nombreux à pousser la porte, et nous devions la tenir. L'une de nous devait rester, le temps que l'autre descende … J'ai voulut qu'elle y aille, mais elle m'a répondu que, de toute façon, elle savait se défendre, et qu'ils ne la tueraient pas tant qu'ils pouvaient m'avoir, et qu'alors, elle fuirait. Je n'ai pas voulut, elle a insistait … C'est la dernière fois que j'ai vu ma sœur. La faute à une promesse, de ses douze ans …

J'ai courus longtemps, presque rien sur moi, un sac contenant mes affaires pas bien grand, un couteau, un peu d'argent, c'est tout … j'ai réussi à fuit la capital, menant pendant un an une vie transitoire dans le Japon, apprenant une autre langue, fuyant la vie des gangues … et puis j'ai finis par quitter le Japon, quitter tout ça … Mais les épreuves m'avais marquées, j'avais changé, et les habitudes restaient bien là …

Je suis arrivais en Angleterre, où une nouvelle vie s'offrait à moi … une vie loin de tout ça, une vie où la chanson serai ma seul vocation, où les erreur du passé ne se répéterai pas … je l'espère, vraiment … Pour toi, Aoni …