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| Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. | |
| Auteur | Message |
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Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 22 Déc - 21:06 | |
| Caleb Noah Hasbrough est né à le 19 Aout 1985 à Los Angeles. Il a donc 26 ans et exerce la humble profession de photographe. C'est fondamentalement une passion plus qu'un métier, Caleb a reçut son premier ancêtre d'appareil photo a 10 ans, depuis, c'est devenu une part de lui-même, un objet duquel il ne se sépare jamais ou presque.. D'origine américaine, sa famille est de confession juive mais lui se dit loin de tout ça, ce qui chagrine sa mère depuis toujours. Caleb a une soeur de 3 ans sa benjamine avec qui il est très proche et protecteur. Il est actuellement célibataire mais aspire à embrasser celle qu'il aime depuis toujours. Cliché n'est-ce pas ? Et pourtant ... Il porte plusieurs tatouage sur son corps. Le pectoral droit est habillé d'un « I'm not a slave to a God who doesn't exist » et sur son biceps gauche se trouve une rose fanée. Le A de sa mère est lui gravé sur son poignet gauche, le P du père sur le droit. Il est un accroc de la caféine et de la nicotine, mais heureusement, il compense avec du sport presque quotidien. Très littéraire, il a toujours un livre sur sa table de chevet. Il aime les belles voitures et c'est ainsi qu'il conduit une vieille BMW de Californie. | | Pseudo ; Nora ♦ Nono ♦ Sianna Age ; 21 ans Avatar ; Jake Gyllenhaal Niveau ; 15-16-17/20 selon les autres. Présence ; 5/7 Ton avis ? J'aime déjà ♥ |
YOUR WORDS « You always Hurt the One you love, the One you should'nt hurt at all. » │ Les mots anglophones d'un film qui m'a marqué. Blue Valentine. On fait toujours du mal à celui ou celle qu'on aime, et tout a commencé quand j'étais petit. Mon père et ma mère se sont aimés, puis d2testés au point de se taper. Ce sont des souvenirs d'enfance qui resteront gravés, pour moi et ma soeurette Nola. Nous avons réussi à nous construire, bien heureusement. Mais quand j'ai vu ce film, et quand j'ai entendu les chansons de cette musique, j'ai alors compris que la vie était ainsi faite. C'était un fait, une réalité. On est ici pour souffrir et on ne pourra rien y changer. Juste améliorer les choses, apaiser la douleur. Du moins, certains le pourront...
« Pourquoi tu pleures ? T'es une gamine ? » │ Les premiers mots que j'ai balancé à Anastacia. Ma petite voisine qui pleurait sur le trottoir en face, et qui deviendrait au fur et à mesure des actions du temps la femme de mon coeur. Celle qui fait encore aujourd'hui parti de moi, ma meilleure amie, ma confidente, la femme de mes rêves.
« Je m'en vais. De toute façon, toi et moi, ça n'aurait jamais pu marcher. » │ Les mots déchirants de Ana avant qu'elle ne parte en Angleterre s'exiler loin de moi. Son père étant mort, elle n'avait plus de famille et c'est logiquement qu'elle est parti. Elle s'est voilé la face en me disant ça, et j'ai pas tarder à lui faire comprendre.
« La ferme. Comment tu peux dire ça alors que t'as jamais osé ouvrir les yeux. Putain d'oeillères que tu portes. Va t-en. A jamais. » │ Ma réponses. Bien sûr que je ne pensais pas la dernière partie. Mais la haine parle toujours.
« T'en trouveras d'autres. » │Qu'elle est conne. Mais qu'elle est ... Je m'arrêtes là parce que... Ces mots étaient ceux de ma soeur Nola. Elle ne comprenait donc rien. Qu'elle reste dans son coin au lieu de me dire ce genre de débilité. Je m'en foutais des autres. Je voulais elle. Elle. Ana. Et avant toute chose, je voulais ma meilleure amie.
« Désolé. » │ Ce mot , j'ai du le dire 2 fois dans ma vie. Et les deux fois à Ana. La première, quand j'ai repris contact avec elle, par téléphone. Et franchement, les appels hors USA, c'est pire que chers ! La deuxième, c'est quand je l'ai embrassé alors qu'elle allait se marier. Ah, j'me kiffe !
« ... Et je lui ai dis oui » │ Alors ça, avant d'être la blague du siècle, c'est la phrase qu'Ana m'a annoncé en m'avouant qu'elle se mariait. Avec un mec qui ne la connaitra jamais autant que je la connais. C'est pathétique non ?
« Ok. C'est ta vie. » │ Ma réponse.
« Je t'aime. » │Ne riez pas. Je lui ai vraiment dis ça, la veille de son mariage. Bah, elle s'est quand même marié...
« Y'a pas d'taf mec. » │ Je hais cette phrase. Vive la galère, photographe, c'est pas un métier qui paye, même à Los Angeles.
« Tu dis rien, pas de commentaires, rien. J'ai divorcé. » │ Quand elle m'a dit ça, je souriais comme un con derrière le téléphone. Seulement, elle ne l'a pas vu. Au mieux, elle l'a entendu. Oui, un sourire s'entend même à des milliers de kilomètres de distance.
« J'arrive. » │ Ma réponse...
HISTOIRE
It's only about Love. Love & patienceHello, Hello, It's You & Me Again ... ♥ FIRST PART. « ME »
On naît on vit on meurt. C'est aussi simple que cela. N'y a t-il pas plus solide vérité que celle-ci ? Et comme tout un chacun, je suis né un jour précis, un peu plus tard que prévu, j'aime me faire attendre. Je ne sais pas s'il faisait beau ce jour-là. Ou bien s'il pleuvait.. C'est drôle quand j'y pense... Personne n'a pensé à me le dire, alors que ça a son importance. Futile importance, mais importance tout de même. Je suis issu d'une famille simple, sans artifice, privilégiant les rapports humains, l'entraide, le soutient, plutôt que la concurrence et l'emprise. J'ai eu de la chance, lorsque je suis né, je faisais déjà parti d'une famille aux moyens aisés, et je ne peux pas le nier, ça m'a bien servi. J'ai commencé cette partie de poker qu'est la vie avec plusieurs jetons en plus, et croyez-moi, ces jetons, on va vous les compter à plusieurs reprises dans votre vie. Et plus vous en avez, meilleur sera votre vie. C'est triste n'est-ce pas ? Malheureux même. Dans cette Terre, c'est marche ou crève, et je suis prêt à tout, argent ou pas pour survivre mieux que toi, toi et toi aussi. L'Homme est un Loup pour l'Homme a t-on dit. Et c'est fou comme cette phrase est vraie.
J'ai grandis, lentement, à mon rythme, ma soeur avec moi. Elle m'a suivit quelques années après, trois exactement. Et avec si peu d'écart, on a pu qu'être proche, ce qui réjouissait mes parents. Parlons de mes parents... Mon père que je ne voyais jamais car Capitaine d'une section de la Navy. Et ma mère qui restait au foyer, ayant comme patrimoine familial un coffre fort rempli, merci Papy. On a jamais manqué de rien, mais on a toujours été humble. Dès petit, j'ai appris ce qu'était le partage, que ce soit avec ma soeur ou avec d'autres. On avait l'habitude de jouer dans ce quartier résidentiel assez coté, nous formions une petite communauté entre nous, il y avait des bons et des mauvais côtés... SECOND PART : « You »
Justement, quand je jouais dans le quartier, j'avais l'habitude de voir cette jeune fille qui me semblait froide et hautaine en apparence. Une russe. Mais genre, une vraie Russe, née là bas, froide comme un glaçon, sponsorisée Vodka. Bon ok, on avait dix ans à l'époque, j'exagère. Elle est le résultat d'un amour autrefois condamné. La Guerre Froide et ses affres avaient pourtant rapproché ses parents. Petite anecdote mignonne. Elle traînait souvent devant chez elle, comme si elle avait peur de franchir ce carré d'herbe. Elle jouait avec sa soeur, ou bien se disputait avec... J'adorais être témoin de leur dispute, les filles me faisaient rire. On avait le même âge Anastasia et moi. Oui, c'est son prénom. Russe, bien sûr.. Sa soeur était âgée d'un an de plus que ma soeur Nola et elle s'appelait Tamara. Voilà, vous connaissez tout le monde maintenant.
Je sais pas pourquoi mais j'aimais bien cette petite. Cette famille. Monoparentale, je n'ai pu voir la mère qu'à de rares occasions. J'étais là, sur mon Quad à discuter avec mon voisin Congolais quand je l'ai vu, assise sur le perron de sa porte, seule et en larme. Il était tard, et plus personne ne passait en voiture dans le quartier, c'est ainsi que même avec la distance j'ai pu entendre son sanglot. Ma mère desespérait de me voir dehors à ces heures tardives; mais c'était comme ça point. J'avais déjà beaucoup de caractère, pas mal de potes, et des envies d'indépendance. A 10 ans, oui oui ... J'ai serré la main de mon pote histoire de prendre congé de lui et je me suis rapproché de la maison Murdock, avec mon Quad qui faisait un bruit électrique me permettant de ne pas être discret. J'aimais qu'on m'entende. Je vins m'installer près d'elle, restant à une certaine distance. La pudeur, mes parents m'ont toujours appris à ne pas être intrusif. « Sa fait plusieurs mois qu'on est voisin et on s'est encore jamais parlé, c'est dingue non ? Et pourtant, je sais que tu pleures à cause de ton père. A cause de sa solitude... Viens, on va marcher un peu. On a construit une cabane avec tout le monde, faut absolument que tu voies ça. » THIRD PART : « Us »
« Où est Cal chérie ? » demandait mon père à ma mère au téléphone. « Oh, tu sais bien. En Russie » Ana et moi nous passions notre vie ensemble. Nous étions à des écoles différentes, car moi j'étais dans une école privée. Une école judaïque, mes parents étaient de purs croyants, et à Los Angeles il y avait une forte communauté juive. Il me tardait le collège où là je savais que je pourrais voir Ana encore plus. Elle avait pris un rôle important dans mavie, nous étions jeunes et tout ceci s'est fait naturellement. A cet âge là, on a pas le temps de réfléchir aux enjeux, on vit nos vies, tout simplement. Nola était presque jalouse d'Ana, mais je n'ai jamais délaissé mon rôle de frère pour elle. Au contraire, j'ai toujours été le protecteur de ses dames, tendre et en même temps impulsif... Mes excès de colères étant jeunes ne m'ont pas vraiment fait défaut, mais en grandissant, j'ai compris que je devrais un jour faire un travail sur moi-même. Et pourtant, je savais d'avance que j'étais trop fier pour ça. C'est Ana qui me calmait en général, elle avait le don de savoir me détendre et me faire comprendre les choses. Futur psychologue, c'est d'ailleurs la voie qu'elle choisira en grandissant. L'époque du collège arriva, une période très bien vécue.. 11 ans ... 12 ans ... 13 ans ... 14 ans ...
Du bruit. Encore du bruit. Toujours du bruit. Ouvrant les yeux, je compris que c'était des sirènes, et qu'elles provenaient du quartier. Me levant, je regarda par la fenêtre avant de descendre l'escalier en courant, paniqué. Ouvrant la porte à la volée, je courus, traversant la rue alors qu'un policier m'en empêcha. « Mais oh. Y'a ma meilleure amie là bas. ANA... » Elle entrait dans un camion d'ambulance [ ... ] Vélo. Vélo... J'esquivais tous les feux rouges, voyant au loin le panneau Hospital . J'entrais alors dans la salle d'attente, ma mère m’appelant, paniquée... Au lieu de lui répondre, je demanda à la secrétaire où était Ana et son père. Aucune réponse la c*nnasse. Je commençais à devenir vulgaire, encore plus sanguin que durant mon enfance. Et je compris alors, bien que je le savais déjà, que perdre Ana me tuerait. C'était elle. Elle. La femme , la Seule et l'Unique. Depuis toujours... Après une expédition dans tout l’hôpital, je croisa Tamara avec une dame que je ne connaissais pas. La prenant dans mes bras, elle m'expliqua vaguement, mon coeur se serrant à mesure que les mots étaient posés.. Ana était endormie, et j'en profita pour aller voir son père. En pleine opération, je ne pus donc rien savoir. Seulement, j'étais coriace et persévérant, et j'attendis, caché derrière le couloir de la salle d'opération, que les médecins sortent. J'entendis alors le mot qu'on ne devrait jamais avoir à prononcer. FOURTH PART : « Me »
Mes larmes coulant sur mon visage, je savais que ça détruirait ma Ana. Et je savais aussi que c'était moi qui devait lui annoncer. Je rejoignis alors sa chambre, et je m'installa dans le lit avec elle. [...] « Où est mon père ? » Je caressais son visage. « Ton père est mort Ana, je suis désolé. »
Les jours sont passés lentement. Et pourtant, j'aurais aimé qu'ils passent encore plus lentement. Ana allait partir, c'était certain, elle allait me quitter pour retrouver sa famille , sa tante en Angleterre. Je ne savais pas si je réussirais à m'en relever, l'Angleterre, c'est loin. Le jour où elle est venue me dire Adieu - car pour nous, ça sonnait comme un Adieu - je lui ai pris la main, et je lui ai déclaré à voix basse « Rappelles-toi quand je te disais que toi et moi on se marierait un jour. Rappelles toi-en là bas. Et rappelles-toi de ça quand tu te marieras avec un autre... » Puis elle est partie, en pleurant, et moi aussi. Moi qui était si grand, si imposant, elle avait le don de faire naître en moi une sensibilité jamais honteuse. Mes parents n'ont pas su quoi faire, puis mon père est parti, et ma mère n'a pas su quoi faire. Puis mon père est revenu de mission, et j'étais toujours mal... Et ainsi de suite jusqu'à mes 16 ans. Il m'a fallut deux ans pour l'oublier. J'avais arrêté de lui envoyer des lettres, c'était bien trop dur. Et si j'ai pu l'oublier facilement, c'est parce qu'au lycée, j'ai fait des rencontres, j'ai connu ma première fois, ma trentième fois, je ne les compte plus. J'ai commencé à boire, à fumer. A photographier. J'avais oublié qu'à dix ans, mon père m'avait offert mon premier appareil. Et j'ai commencé à m'isoler, seul dans les bois, prenant des photos. Ou alors, prenant la voiture de la mère, je partais sur les collines, photographier les Anges. Ah, cette ville, je savais que je ne finirais pas ma vie ici, et pourtant, j'avais cette impression de n'avoir pas découvert la moitié de ces trésors.
La faculté. J'ai fait des études d'arts, puis je me suis spécialisé dans la photo. J'avais 20 ans, j'envoyais toujours des lettres à Ana, mais c'était devenu rare. Je savais que ma plaie resterait ouverte, sûrement indéfinitivement, un gout d'inachevé dans ma bouche quand je pensais à elle. J'avais toujours mal. Alors, j'évitais de penser à elle. Jusqu'au jour, où elle m'a appelé. Pourquoi ? Pourquoi a t-elle fait ça ? Pour me faire mal ? Probablement. Voilà que je dérailles encore, Ana ne souhaiterait jamais ma peine. Elle m'a appelé pour m'annoncer qu'elle connaissait l'auteur du meurtre de son père, qu'elle l'avait pratiquement entendu déblatérer chaque geste, chaque pensée qu'il avait eu lors de son acte. Elle était devenue psychologue, et elle avait comme client le tueur qu'elle avait toujours souhaitait tuer. Dans sa vie, elle était heureuse. On a parlé pendant bien une heure, essayant de rattraper ce qui n'était plus rattrapable. Je tremblais, le combiné menaçait de tomber. Elle était Heureuse avec un autre que moi. L'annonce de son nom m'a tué sur place, mais lorsqu'elle a ajouté qu'elle voulait devenir sa femme et que je devais absolument être là, au nom de notre Amitié, j'ai répondu « Bien sûr que je serais là, tu crois quoi ? », avant de laisser mon poing se serrer. Et de raccrocher. Elle m'avait complètement détruit, au fil du temps, et ça c'était le coup final. Pourtant, je l'aimais, amitié amour, c'est pas bien grave, je ne souhaitais que son bonheur. Alors, je mettrais ma putain de fierté de côté, j'enterrerais mon putain d'amour pour elle, il était temps, ça faisait presque dix ans qu'elle était partit, j'allais la laisser s'envoler, véritablement, sans plus jamais chercher à trouver où elle allait se poser. C'était elle, et moi. Le nous était définitivement enterré...
Et pourtant.... J'ai survolé l'Atlantique, et au moment même où je me suis retrouvé en face d'elle, après toutes ces années, remplaçant les photos de Facebook par son visage original, authentique, j'ai cédé. Cédé à mes pulsions, j'ai laissé mon « ça » vaincre sa bataille avec mon « Sur moi » Au diable les interdits, les tabous, les foutus normes. Je laisse mes envies et mes désirs me conduire à l'embrasser. « Ne fais pas ça Ana tu te trompes de personnes, ne te marie pas avec cet homme je t’en prie. Je suis tellement amoureux de toi et depuis toujours en plus. Je te rendrais heureuse comme tu ne l’as encore jamais été. » Mes lèvres chaudes appelaient les siennes, je la voulais pour moi, Moi seul, sans aucun partage, sans aucune intrusion, sans rien d'autre que nous. Et elle... Elle voulait tout ça, mais avec un autre. Elle m'a brisé encore une fois. Encore et encore et encore et encore, à croire que c'était notre foutue destinée, se vouloir, mais ne jamais s'avoir. Ou plutôt ma destinée. Je suis parti. Sans me retourner, à quoi bon ça aurait servi ?
Deux ans après, j'étais toujours à LA. C'est drôle de voir que rien ne change. On reste désespérément fidèle à soi-même, alors qu'on a toujours voulu prendre des risques... Moi, c'était fini maintenant, je savais où ma vie était. Près de ma soeur et ma mère, les liens familiaux nous liant d'une manière indestructible. Mon père était mort, et je m'occupais donc de ma famille. Ma mère qui m'a éduqué avait maintenant besoin de moi, de mon soutient. Le jour des funérailles officiels de mon père, dans cette immense église à Washington, c'est à ma mère et ma soeur que j'ai tenu la main. Pas Ana, ni d'autres, non, à ces deux là, mes Essentielles., les femmes de ma vie. J'avais mon appartement depuis un bon moment déjà, mon indépendance je me l'étais accordé à 18 ans. J'avais mon travail d'intérimaire, rien de bien stable, certes, mais bien que la Vie est Dure, j'ai de l'argent, je travaille juste pour ne pas rien faire ... J'avais mes espérances, mes envies, mes craintes, mes peurs, mes déceptions, je savais où je ne voulais pas aller, où je ne voulais surtout plus aller. Et pourtant ...
« Cal’ c’est Ana… J’ai quitté Dylan. Tu avais raison c’était qu’un con. J’ai besoin de te parler et de te voir. Je t’en prie. Rappel moi. »
Mes mains tremblotantes, je savais déjà que j'allais tout quitter pour aller la retrouver... Elle avait besoin de moi. Et j'avais besoin d'Elle, ne serait-ce que de sa personne, de ses foutues psychanalyses à deux balles, de son rire... Si le Destin existe, il nous a fait attendre...
Ma fiche est ; (posez le ✓ où c'est le bon choix) ❑ en construction ❑ bientôt fini ✓ terminée
Dernière édition par Caleb N. Hasbrough le Jeu 5 Jan - 16:08, édité 6 fois |
| | | Anastasia I. Murdock
▶ MOTS : 44 ▶ ICI DEPUIS : 24/11/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 22 Déc - 21:17 | |
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| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 22 Déc - 21:19 | |
| Merci beaucoup, j'espère que ce soir je l'aurais finis sinon dans les jours prochains Merci à toi |
| | | Dorian c. brady
▶ MOTS : 62 ▶ ICI DEPUIS : 23/10/2011 ▶ AGE : 28
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Ven 23 Déc - 0:22 | |
| Bienvenue parmi nous |
| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Sam 24 Déc - 10:56 | |
| Bonsoir , et merci de l'accueil ♥
A cause du taf, je n'ai finalement pas pu débuter ma présentation, et comme je veux prendre mon temps, et ne pas la bacler, pouvez-vous me laisser un délai ? Je pars en vacances à partir de ce soir, mes congés commencent à 16h, donc je ne pourrais rien faire avant mon retour, soit le 3 Janvier...
Pouvez-vous mettre ma présentation en attente, et ne surtout pas me supprimer ? ♥
Si un autre Caleb s'inscrit, bah écoutez, tant pis pour moi ! Mais je viens vous demander de ne pas supprimer mon compte en pensant que je suis un membre fantôme alors que non xD
Bonnes et Heureuses fêtes à tous !!!! ♥ |
| | | Kelsay T. Eastwood
▶ MOTS : 607 ▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Mar 27 Déc - 15:29 | |
| Hey hey ! Bienvenue Allez, c'est les fêtes, j'suis gentille (a) J'te laisse jusqu'au 7 janvier pour finir ta fiche ou avoir des nouvelles à ton propos etc .. sans ça, donc pas de nouvelle ou autre, le 7 janvier je te supprimerais ._. mais j'suis sur que tu va rester avec nous Passe de bonnes vacances et de bonne fête ! |
| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Mar 3 Jan - 14:08 | |
| Et bien me volà ma belle Je travaille jusqu'à minuit, et quand les enfants que je garde seront au lit, je l'avancerais, et peut-être même la finirais qui c'est ! Ou sinon demain après les cours vers 18h BONNE ANNEE |
| | | Anastasia I. Murdock
▶ MOTS : 44 ▶ ICI DEPUIS : 24/11/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Mar 3 Jan - 22:50 | |
| Haan j'avais pas vue ton message par ici Bonne année quand même et j'espère que tes vacances se sont bien passés J'aime énormément le début de ta fiche |
| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Mer 4 Jan - 0:18 | |
| Merci ♥ J'ai fait tout sauf l'histoire, mais j'ai l'inspiration pour ce Caleb, ça sera fait assez rapidement ♥ |
| | | Kelsay T. Eastwood
▶ MOTS : 607 ▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Mer 4 Jan - 16:44 | |
| Prend ton temps, je sais ce que c'est xD en tout cas, courage pour ta fiche |
| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 5 Jan - 16:12 | |
| Et voilà, je pense avoir fini ma présentation, en espérant que ce Caleb correspond aux Caleb d'Ana ♥ |
| | | Anastasia I. Murdock
▶ MOTS : 44 ▶ ICI DEPUIS : 24/11/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 5 Jan - 16:30 | |
| Ton histoire. Ta manière d’interprété les sentiments de Caleb pour Ana. Tout était magnifique Honnêtement j'ai adoré te lire , c'est tout bon pour moi et j'ai vraiment hâte de RP avec toi |
| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 5 Jan - 16:39 | |
| Trop contente que tu apprécies Et moi donc !! ^^ Vite vite ahaaa ! |
| | | Anastasia I. Murdock
▶ MOTS : 44 ▶ ICI DEPUIS : 24/11/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 5 Jan - 17:07 | |
| Je te mpotte pour qu'on discute de notre futur RP :<3: |
| | | M. Apollinaire Smirnov
▶ MOTS : 238 ▶ ICI DEPUIS : 29/11/2011 ▶ AGE : 35 ▶ WHERE ARE YOU ? : DTC
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Jeu 5 Jan - 21:18 | |
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| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Ven 6 Jan - 0:44 | |
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| | | Kelsay T. Eastwood
▶ MOTS : 607 ▶ ICI DEPUIS : 22/10/2011
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Ven 6 Jan - 19:56 | |
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| | | Caleb N. Hasbrough
▶ MOTS : 37 ▶ ICI DEPUIS : 17/12/2011 ▶ AGE : 34
| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. Ven 6 Jan - 22:27 | |
| Super merci ♥♥ Je vais voir tout ça ce weekend ! ^^ |
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| Sujet: Re: Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. | |
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| | | | Caleb │ You always hurt the One you love. The One you shouldn't hurt at all. | |
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